Believe Solutions
Prêcher par l’exemple
Presque tout le monde a déjà connu la mauvaise expérience d’une facturation excessive pour des produits ou services. Mais contrairement à la plupart des gens, Joseph Rogers a décidé quant à lui qu’il changerait les choses. Voici son histoire : après que le système de chauffage, de ventilation et de climatisation (CVC) de sa maison fut tombé en panne, M. Rogers a appelé un technicien pour faire réparer le tout. Or, il s’est avéré que le système était en parfait état de marche – le technicien n’a eu qu’à actionner un interrupteur pour qu’il reparte. L’ennui, c’est que M. Rogers s’est vu facturer quelques centaines de dollars pour cette manœuvre toute simple!
Un homme de principes, M. Rogers a décidé qu’il tenterait d’épargner aux autres une telle expérience. C’est ainsi qu’il a fondé Believe Solutions LLC, une entreprise du New Jersey qui offre à ses clients résidentiels et commerciaux des services de construction, de rénovation et, bien sûr, d’installation et de réparation de systèmes CVC.
Grâce à son expérience en affaires, M. Rogers a été en mesure d’attirer rapidement une base solide de clients fidèles. Curieusement toutefois, ce succès précoce a commencé à entraver sa capacité à croître et très tôt, Believe Solutions a été confrontée à deux défis majeurs.
Tout d’abord, en tant que jeune entreprise, Believe Solutions n’arrivait pas à attirer le financement dont elle avait besoin pour se développer. Bien qu’admissible à un financement bancaire de 75 000 $, elle dépensait autant toutes les deux semaines en coûts de matériel uniquement, ne laissant ainsi aucune marge pour la croissance. Deuxièmement, à mesure que le volume de ses activités commerciales augmentait, l’entreprise ne pouvait tout simplement pas faire face à ses coûts de matériel et de main-d’œuvre.
« En plus de la main-d’œuvre dont nous avions besoin pour accomplir nos mandats commerciaux, nos fournisseurs s’attendaient à être payés à la livraison. D’un autre côté, nous devions attendre au moins 30 jours, et parfois plus longtemps, avant de recouvrer nos créances commerciales. J’ai donc commencé à couvrir le manque à gagner avec des fonds personnels, ce qui s’est révélé impraticable assez rapidement. »
~ Joseph Rogers, PDG, Believe Solutions LLC
Reconnaissant qu’elle avait besoin d’une solution plus flexible que le financement bancaire, Believe Solutions s’est donc tournée vers l’affacturage.
Trouver le bon fournisseur
Au fil de ses expériences de travail précédentes, M. Rogers avait vu d’autres entreprises recourir à l’affacturage, de sorte qu’il en comprenait les avantages et le potentiel. Malgré tout, l’entreprise a eu du mal à trouver le bon fournisseur.
Au départ, Believe Solutions envisageait de retenir les services d’une société d’affacturage d’un autre État, mais lorsque M. Rogers a pris connaissance des modalités de ce fournisseur, l’inquiétude s’est installée. « L’entreprise avec qui nous étions en pourparlers exigeait des montants minimums d’affacturage et voulait nous faire signer une entente contraignante », se rappelle M. Rogers. « J’ai eu l’impression que ces gens n’avaient pas confiance en nous. C’était comme s’ils voulaient protéger leurs propres profits, mais sans vraiment se soucier de nos intérêts. »
À la recherche d’un autre partenariat, M. Rogers a été présenté à Liquid Capital par un collègue. Il a immédiatement remarqué le contraste dans l’approche de ce fournisseur. Outre la souplesse dans les modalités, M. Rogers a été impressionné par l’empressement de Liquid Capital envers son entreprise pour l’aider à améliorer ses processus internes – afin d’accélérer le recouvrement de ses créances – et lui éviter de conclure des contrats avec des clients qui pourraient ne pas être en mesure de payer.
« Avec Liquid Capital, j’ai l’impression que nous faisons des affaires ensemble, et que ce fournisseur manifeste un intérêt réel à nous aider à adopter les mécanismes de protection et les mesures dont nous avons besoin pour croître. Même si nous cherchons à faire des profits, nous souhaitons éviter le risque. Le fait d’avoir un partenaire qui s’engage à nous protéger est donc vraiment utile. »
~ Joseph Rogers, PDG, Believe Solutions LLC
D’une position fragile à une position de croissance
Lorsque Believe Solutions a commencé à travailler avec Liquid Capital, elle connaissait déjà une crise de trésorerie. Chaque dollar de libre dans ses coffres devait servir à payer les matériaux et la main-d’œuvre. L’entreprise épuisait les liquidités d’une autre division juste pour continuer à fonctionner et ses recouvrements étaient en retard – un seul client devant quelque 40 000 $ à l’entreprise. M. Rogers se souvient que si trois autres dispositifs CVC commerciaux étaient tombés en panne, Believe Solutions n’aurait pu se permettre d’acheter des appareils de remplacement, et encore moins de couvrir la paie.
Tout a changé lorsque l’entreprise a commencé à affacturer ses comptes. Après avoir obtenu un financement de plus de 150 000 $ à partir de ses créances, Believe Solutions a commencé à connaître une croissance dynamique. En l’espace de 90 jours seulement, l’entreprise avait progressé de 60 % – ses revenus étaient passés à plus de 1,5 million de dollars, ce qui lui a permis, ce faisant, de toucher plus de 250 000 $ en financement. Parallèlement, l’entreprise s’employait à innover pour maintenir son rythme de croissance pendant la période creuse qui suit la fin de la saison estivale très occupée.
« Sans Liquid Capital, nous ne serions plus là aujourd’hui », admet M. Rogers. « Notre capacité d’accéder aux liquidités dont nous avons besoin, aussi souvent que nous en avons besoin, nous a dotés d’une plate-forme solide pour assurer notre expansion. »
« Si j’avais su, j’aurais probablement commencé à factoriser avec Liquid Capital avant même d’aller à la banque. Bien que nous ayons obtenu une ligne de crédit bancaire, ce n’est pas aussi efficace que de faire affaire avec Liquid Capital – loin de là. »
~ Joseph Rogers, PDG, Believe Solutions LLC
La confiance dans l’avenir
Dans l’avenir, Believe Solutions prévoit continuer à travailler avec Liquid Capital alors qu’elle s’apprête à grossir son chiffre d’affaires de quelque 1,5 à 2 millions de dollars de plus. « J’ai fait affaire avec au moins dix autres sociétés d’affacturage au cours de ma carrière dans différentes industries, et Liquid Capital sort vraiment du lot », de dire M. Rogers. Notre principal de Liquid Capital a rationalisé nos systèmes comptables simplement pour les rendre conformes à ses normes. Il a également contribué à renforcer nos processus clients en nous aidant à mettre en œuvre un nouveau système de suivi, ce qui nous évite de manquer une saisie de données quelconque. Nous sommes vraiment optimistes à l’idée de profiter d’un tel soutien à mesure que nous grandirons. »